Genres scolaires in RecherchesCollectifn° 65, décembre2016 p. 5 à 187
- Quelques remarques sur la notion de genre scolaire
- Quand la devinette devient un genre scolaire. Analyse didactique d’une séquence de lecture-écriture en CP/CE1
- Des albums pour parler, des albums pour se taire
- L’album de littérature de jeunesse : genre, forme et/ou médium scolaire ?
- L’évolution des genres scolaires en français : le cas de la dissertation à Genève (1970-2004)
- Débattre, faire débattre et apprendre à débattre. Étude des déclarations d’enseignants de cycle 3 sur des genres disciplinaires du débat
- Le questionnaire en question
- Des élèves concepteurs de pages de manuel
- La récitation
- Genres scolaires et genres scolarisés en écriture et pratiques sociales de référence. Le cas de l’école primaire en Suisse romande (1830-2010)
- Des nouvelles du livre pour la jeunesse : albums en tous genres
Genre et analyse du discours
- Genre de discours et technologie discursive : tweet, twittécriture, et twittérature
- Trésorier le genre pour déjouer ses frontières et construire le sens
- Hétérogénéité des textes, hétérogénéité des genres
- Discours rapporté, et genres discursifs : quels liens ?
Sémiotique des genres
- Sémitoique textuelle du genre : la générosité des albums d'enfance
- La notion de tradition discursive : une perspective diachronique sur les genres textuels et sur les phénomènes de fréquence textuelle
- Genre et textualité lyrique : l'impossible modélisation comme indice de transgénéricité
- Un genre de discours miniature : pour un modèle de l'anecdote
- "Genre" ou "type" de discours ? : une dimension à explorer pour l'étude du langage dans des situations de travail
Genres et didactiques
- Statut et usages de la notion de genre en didactique(s) : retour sur quelques propositions
- La dissertation : un genre scolaire argumentatif ? : perspective historique
- Les Misérables dans les manuels de français de 4e, entre fiction romanesque et fiction historique
- Genre, généricité et compétence lectoriale
- L'approche par genres discursifs dans l'enseignement du français langue étrangère et langue de scolarisation
- Retour sur le classement des genres à enseigner : état des lieux et tentative de clarification
Controverse
- Types, genres et généricité en débat avec Jean-Michel Adam
- Question de genre et de stratégie discursive : quand la polémique rend le "débat" impossible
"Le texte enrichi d'une lecture d'image, écho pictural de l'oeuvre, est suivi de sa mise en perspective organisée en six points : - Mouvement littéraire : petit panorama de la littérature française - Genre et registre : rhétorique de la rupture - L'écrivain à sa table de travail : quand les écrivains se font critiques - Groupement de textes : manifestes des littératures extrêmes : les cas limites - Fiche : des pistes pour rendre compte de sa lecture"Le texte enrichi d'une lecture d'image, écho pictural de l'oeuvre, est suivi de sa mise en perspective organisée en six points : - Mouvement littéraire : petit panorama de la littérature française - Genre et registre : rhétorique de la rupture - L'écrivain à sa table de travail : quand les écrivains se font critiques - Groupement de textes : manifestes des littératures extrêmes : les cas limites - Fiche : des pistes pour rendre compte de sa lecture
Une présentation du mouvement littéraire en six temps : le burlesque, une catégorie problématique ; le burlesque poétique ; le burlesque et les codes ; variations burlesques au XVIIe siècle ; un phénomène européen (XVIIe-XVIIIe siècles) ; le burlesque au XIXe et XXe sièclesUne présentation du mouvement littéraire en six temps : le burlesque, une catégorie problématique ; le burlesque poétique ; le burlesque et les codes ; variations burlesques au XVIIe siècle ; un phénomène européen (XVIIe-XVIIIe siècles) ; le burlesque au XIXe et XXe siècles
"Pourquoi le roman s'est-il imposé comme la forme privilégiée de l'écrit ? Afin de répondre à cette question, il convient de se référer à l'histoire du roman et de ses théories. Plus que toute autre forme littéraire, le roman s'est prétendu libre de son style et de ses sujets, sans obligation de références à des règles poétiques ou à des interdits sociaux, politiques ou religieux. Mais de Madame de La Fayette à Salman Rushdie, de nombreuses étapes ont dû être franchies. C'est par le biais des philosophes (Aristote, Hegel...), des écrivains (Huet, Valéry...) que l'auteur retrace les influences françaises et étrangères qui ont permis au roman d'acquérir ses lettres de noblesse.""Pourquoi le roman s'est-il imposé comme la forme privilégiée de l'écrit ? Afin de répondre à cette question, il convient de se référer à l'histoire du roman et de ses théories. Plus que toute autre forme littéraire, le roman s'est prétendu libre de son style et de ses sujets, sans obligation de références à des règles poétiques ou à des interdits sociaux, politiques ou religieux. Mais de Madame de La Fayette à Salman Rushdie, de nombreuses étapes ont dû être franchies. C'est par le biais des philosophes (Aristote, Hegel...), des écrivains (Huet, Valéry...) que l'auteur retrace les influences françaises et étrangères qui ont permis au roman d'acquérir ses lettres de noblesse."
L'auteur examine les différentes formes du roman (roman d'aventures, historique, miroir de la société, témoignage...), ainsi que les problèmes de l'organisation du texte, de la narration, du point de vue, du statut des personnages.L'auteur examine les différentes formes du roman (roman d'aventures, historique, miroir de la société, témoignage...), ainsi que les problèmes de l'organisation du texte, de la narration, du point de vue, du statut des personnages.
"Grâce à ces textes contemporains (Gavalda, Buzzati, Cortazar, Bourgeyx, Kassak, Mérigeau), les élèves découvriront le genre de la nouvelle et pourront se familiariser avec les notions propres au récit. Idéal en début d'année de troisième ou de seconde pour motiver les élèves à être attentifs aux moindres indices dès leur première lecture, ce recueil les fera également renouer avec un certain plaisir de lecture. Situé en fin d'ouvrage, l'appareil pédagogique complet est suivi d'une interview exclusive d'Anna Gavalda. ""Grâce à ces textes contemporains (Gavalda, Buzzati, Cortazar, Bourgeyx, Kassak, Mérigeau), les élèves découvriront le genre de la nouvelle et pourront se familiariser avec les notions propres au récit. Idéal en début d'année de troisième ou de seconde pour motiver les élèves à être attentifs aux moindres indices dès leur première lecture, ce recueil les fera également renouer avec un certain plaisir de lecture. Situé en fin d'ouvrage, l'appareil pédagogique complet est suivi d'une interview exclusive d'Anna Gavalda. "
"Le présent numéro d'Enjeux propose une série d'articles faisant alterner aussi bien la pratique et la réflexion théorique que l'étude de la littérature ou du discours fonctionnel." Sommaire détaillé :
- Présentation du numéro
- Analyses linguistiques et enseignement du français : temporalité et aspect comme propriétés de l'énoncé-représentation
- Le genre, d'Aristote à la télé-réalité
- Prouesse persuasive, coup de force argumentatif : analyse du plaidoyer de Bill Clinton dans l'affaire Lewinsky
- Le roman à la première personne : une "mimésis formelle" ?
- Faire lire un roman historique : un exemple de procédure pédagogique pour aborder "Quatrevingt-treize"
- Echo du 9e colloque de l'AIRDF ? Québec 26-28 août 2004. Le français : discipline singulière, plurielle ou transversale ?
Cet ouvrage collectif, écrit par des écrivains, psychanalystes, poètes, enseignants, illustrateurs... propose des points de vue et des expériences pour réussir "l'entrée de la littérature à l'école primaire [ce qui] constitue une véritable ambition culturelle et démocratique.]Cet ouvrage collectif, écrit par des écrivains, psychanalystes, poètes, enseignants, illustrateurs... propose des points de vue et des expériences pour réussir "l'entrée de la littérature à l'école primaire [ce qui] constitue une véritable ambition culturelle et démocratique.]
Cet ouvrage apporte une méthode aux enseignants afin qu'ils puissent apprendre à leurs élèves à apprivoiser ce genre littéraire qu'est l'essai.Cet ouvrage apporte une méthode aux enseignants afin qu'ils puissent apprendre à leurs élèves à apprivoiser ce genre littéraire qu'est l'essai.
" Le présent ouvrage commence par retracer l'évolution des conceptions génériques à travers les pratiques littéraires, puis il passe en revue les principaux modèles théoriques, des plus classiques (Aristote, Hegel, Brunetière ... ) aux plus novateurs (Bakhtine, Genette, Schaeffer, Petitjean ... ), sans omettre l'apport récent des typologies de textes (Bronckart, Adam ... )."" Le présent ouvrage commence par retracer l'évolution des conceptions génériques à travers les pratiques littéraires, puis il passe en revue les principaux modèles théoriques, des plus classiques (Aristote, Hegel, Brunetière ... ) aux plus novateurs (Bakhtine, Genette, Schaeffer, Petitjean ... ), sans omettre l'apport récent des typologies de textes (Bronckart, Adam ... )."
Types et genres textuels in EnjeuxCollectif ; Bronckart, Jean-Paul ; Schneuwly, Bernardn° 37-38, mars-juin1996
- Genres de textes, types de discours et opérations psycholinguistiques
- Genres et progression en expression orale et écrite
- Des moyens d'enseignement et d'apprentissage pour l'expression orale et écrite
- Des types de textes en 3è. Comment, pourquoi ?
Analyse du discours narratif est un manuel d'initiation aux raffinements du plaisir textuel. L'analyse formelle des textes, comme préalable essentiel à d'autres formes d'analyse, en est le propos central. L'objectif de comprendre et de dévoiler les mécanismes cachés du discours narratif se réalise par l'adaptation didactique soignée de la démarche de Gérard Genette et par les nombreux exercices proposés à la fin de chaque chapitre. Les concepts fondamentaux de temps, de voix et de mode sont rendus plus accessibles grâce à leur application concrète et constante.Analyse du discours narratif est un manuel d'initiation aux raffinements du plaisir textuel. L'analyse formelle des textes, comme préalable essentiel à d'autres formes d'analyse, en est le propos central. L'objectif de comprendre et de dévoiler les mécanismes cachés du discours narratif se réalise par l'adaptation didactique soignée de la démarche de Gérard Genette et par les nombreux exercices proposés à la fin de chaque chapitre. Les concepts fondamentaux de temps, de voix et de mode sont rendus plus accessibles grâce à leur application concrète et constante.
Centré autour de l'énonciation dans l'oeuvre littéraire, cet ouvrage de linguistique prend en compte à la fois l'oeuvre, l'écrivain et le champ littéraire et les scènes d'énonciation ainsi que l'énoncé lui-même.Centré autour de l'énonciation dans l'oeuvre littéraire, cet ouvrage de linguistique prend en compte à la fois l'oeuvre, l'écrivain et le champ littéraire et les scènes d'énonciation ainsi que l'énoncé lui-même.
"Dire que La Princesse de Clèves est un récit, ou Le Parfum un sonnet, c'est certes nommer et classer ces textes, mais selon des logiques très différentes - le premier cas mettant en jeu l'exemplification d'une propriété, et le second l'application d'une règle. Cette simple remarque laisse entrevoir la conclusion radicale et dérangeante de ce livre : la pluralité des logiques " génériques " de ce livre est irréductible. Par là, Jean Marie Schaeffer tourne une page de l'histoire de la poétique. Désormais, on ne pourra plus faire comme si un texte n'était pas là, d'abord et avant tout, un acte de langage, comme si la théorie littéraire n'avait rien à attendre de la philosophie.""Dire que La Princesse de Clèves est un récit, ou Le Parfum un sonnet, c'est certes nommer et classer ces textes, mais selon des logiques très différentes - le premier cas mettant en jeu l'exemplification d'une propriété, et le second l'application d'une règle. Cette simple remarque laisse entrevoir la conclusion radicale et dérangeante de ce livre : la pluralité des logiques " génériques " de ce livre est irréductible. Par là, Jean Marie Schaeffer tourne une page de l'histoire de la poétique. Désormais, on ne pourra plus faire comme si un texte n'était pas là, d'abord et avant tout, un acte de langage, comme si la théorie littéraire n'avait rien à attendre de la philosophie."