En 1975, la Loi Veil a ouvert le droit des femmes à la maîtrise de leur corps et de leur sexualité. Quarante ans plus tard, dans beaucoup de sociétés, au Nord comme au Sud, le droit à l’avortement et dans une moindre mesure celui à la contraception apparaissent toujours comme des lignes rouges. Quel état des lieux de ces droits à l’échelle de la planète ? Comment expliquer cette situation ? Comment les sociétés civiles se mobilisent pour faire en sorte qu’avoir le choix ne soit pas un crime ?