- De Thomas More à Nuit debout
- Il y a 500 ans, Thomas More publiait "L'Utopie"
- Ils ont pensé l'utopie
- La contre-utopie comme cri d'alarme
- Pour la paix
- Une soif de fraternité et d'égalité
- Sauver l'humanité et la planète
- Un modèle de société clé en main
- Des communautés éphémères
- La science et la technique à la rescousse
- L'utopie numérique
- Changer d'abord l'économie !
- Une nouvelle démocratie
- L'utopie, ici et maintenant
- Le carnet des utopies
- Liberté, égalité, les soeurs ennemies ?
- Les philosophes et la liberté
- Le libre arbitre, une illusion nécessaire
- Surveillés et consentants
- A-t-on le droit d'offenser ?
- Pourquoi on a interdit le voile ?
- Prison virtuelle
- Mon corps m'appartient-t-il ?
Penser est un sport de combat in Manière de Voir (Le Monde Diplomatique)Collectifn° 137, octobre-novembre2014 p. 5 à 97
"On ne sait jamais de quoi hier sera fait" ou comment le passé peut être écrit ou réécrit pour mettre en perspective le présent...
1. Avec l'aide de l'histoire
- L'histoire est écrite par les vainqueurs
- Pourquoi le tiers-monde a disparu
- Miroir fêlé où Europe et monde arabe se regardent
- L'Asie existe-t-elle ?
- Les braises de la mémoire
- Mai 68 et ses vies ultérieures
- Une enquête rationnelle
- Nul n'est hors de son temps, pas même Camus
2. Les questions qui fâchent
- L'indigence de la gauche européenne
- Le dernier tabou, la démocratie
- Quand Dieu n'a plus de concurrent
- Au nom de quoi refuser la loi en place ?
- Les orphelins de la révolution
- La fonte des glaces et la lutte des classes
- Droit à l'égalité, droit à la différence
- Les Grecs, les calmars et l'université de la science
- A quoi servent ceux qui écrivent ?
- L'Idée d'Alain Badiou
3. Réfractaires à la résignation
- Comment dépolitiser la colère
- Notre époque n'est pas postmoderne, elle est posthume
- L'import-export de la soumission
- Encore un effort pour être républicain
- Avec Marcuse, la philosophie est dangereuse
- Changer les règles ou sombrer
- La subversion discrète de l'imagination
- On pense pour vous : les professionnels du maintien de l'ordre
- Gramsci, construire le parti des opprimés
"Le 16 mars 2005, les archives concernant " L'affaire de l'esclave Furcy " étaient mises aux enchères, à l'hôtel Drouot. Elles relataient le plus long procès jamais intenté par un esclave à son maître, trente ans avant l'abolition de 1848... Les archives révélaient un récit extraordinaire : celui de Furcy, un esclave âgé de trente et un ans, qui, un jour d'octobre 1817, dans l'île de la Réunion que l'on appelle alors île Bourbon, décida de se rendre au tribunal d'instance de Saint-Denis pour exiger sa liberté. Après de multiples rebondissements, ce procès, qui a duré vingt-sept ans, a trouvé son dénouement le samedi 23 décembre 1843, à Paris. Malgré un dossier volumineux, et des années de procédures, on ne sait presque rien de Furcy, il n'a laissé aucune trace, ou si peu. J'ai éprouvé le désir - le désir fort, impérieux - de le retrouver et de le comprendre. De l'imaginer aussi." Cet ouvrage de M. Aïssaoui a obtenu le prix Renaudot essai et le prix RFO du livre en 2010."Le 16 mars 2005, les archives concernant " L'affaire de l'esclave Furcy " étaient mises aux enchères, à l'hôtel Drouot. Elles relataient le plus long procès jamais intenté par un esclave à son maître, trente ans avant l'abolition de 1848... Les archives révélaient un récit extraordinaire : celui de Furcy, un esclave âgé de trente et un ans, qui, un jour d'octobre 1817, dans l'île de la Réunion que l'on appelle alors île Bourbon, décida de se rendre au tribunal d'instance de Saint-Denis pour exiger sa liberté. Après de multiples rebondissements, ce procès, qui a duré vingt-sept ans, a trouvé son dénouement le samedi 23 décembre 1843, à Paris. Malgré un dossier volumineux, et des années de procédures, on ne sait presque rien de Furcy, il n'a laissé aucune trace, ou si peu. J'ai éprouvé le désir - le désir fort, impérieux - de le retrouver et de le comprendre. De l'imaginer aussi." Cet ouvrage de M. Aïssaoui a obtenu le prix Renaudot essai et le prix RFO du livre en 2010.
Un film vidéo de 30 minutes qui permet de repérer des fondamentaux de l'Enseignement catholique français sur "Eduquer à la liberté" et de revisiter nos pratiques à partir des relations vécues dans un établissement scolaire (conseil de classe, entretien d'évaluation, accueil de la différence, apprentissage de la responsabilité, de la solidarité et de l'autonomie...). Deux grands témoins, Monseigneur Gérard Defois, archevêque émérite de Lille, et Bertrand Bergier, sociologue, en révèlent toute la force. A noter : une partie DVD-ROM qui contient 40 photographies réalisées par Jean Gorvan représentant des situations vécues dans les établissements scolaires.Un film vidéo de 30 minutes qui permet de repérer des fondamentaux de l'Enseignement catholique français sur "Eduquer à la liberté" et de revisiter nos pratiques à partir des relations vécues dans un établissement scolaire (conseil de classe, entretien d'évaluation, accueil de la différence, apprentissage de la responsabilité, de la solidarité et de l'autonomie...). Deux grands témoins, Monseigneur Gérard Defois, archevêque émérite de Lille, et Bertrand Bergier, sociologue, en révèlent toute la force. A noter : une partie DVD-ROM qui contient 40 photographies réalisées par Jean Gorvan représentant des situations vécues dans les établissements scolaires.
Le droit a toujours occupé une grande place dans l'éducation. La juridicisation de la vie scolaire est un phénomène récent et elle nourrit de nombreuses craintes chez les acteurs de l'éducation ; on veut y voir une contagion du " modèle " américain ou un danger de pénalisation de l'action enseignante. C'est que le droit, qui s'appliquait autrefois à l'institution Education nationale dans sa globalité s'est transporté au niveau de l'établissement et de la classe, où les usagers n'hésitent plus à faire valoir leurs droits , et qu'il s'y charge d'une dimension conflictuelle et nouvelle.Le droit a toujours occupé une grande place dans l'éducation. La juridicisation de la vie scolaire est un phénomène récent et elle nourrit de nombreuses craintes chez les acteurs de l'éducation ; on veut y voir une contagion du " modèle " américain ou un danger de pénalisation de l'action enseignante. C'est que le droit, qui s'appliquait autrefois à l'institution Education nationale dans sa globalité s'est transporté au niveau de l'établissement et de la classe, où les usagers n'hésitent plus à faire valoir leurs droits , et qu'il s'y charge d'une dimension conflictuelle et nouvelle.
La Liberté in Sciences HumainesDortier, Jean-François ; De Coster, Michel ; Neuberg, Marc ; Lochak, Danièle ; Chouchan, Dominique ; Joule, Robert-Vincentn° 86, août.- septembre1998
1/ La conquête des libertés en Occident
2/ Quand l'individu se joue des contraintes
3/ Libre Arbitre, autonomie et raison philosophique
4/ Les bornes de la liberté
5/ Quelles limites pour le chercheur?
6/ Se soumettre... en toute liberté
De la limite in EtudesVergely, Bertrandn° t. 381, n° 4, octobre1995
Paradoxe : l'homme moderne refuse que l'on mette des limites à sa recherche et à son action, mais, devant les "dégâts du progrès", il demande des limites. la liberté de l'esprit se gagne en se donnant librement des limites
-Enjeux décisifs (méthode, utilité) -Les sciences de l'homme au CNRS -Des idées égales aux recherches spécifiques -Déterminisme ou liberté ? -Avenir des sciences humaines : Sciences de l'Education : Guy Avanzini