- Le corps dans la culture hypermoderne. Représentations et valeurs
- Corps politiques, corps mystiques et incorporations
- La protection juridique du corps dans l’hypermodernité : les excès de la volonté individuelle en question
- Les nouveaux corps du capitalisme
- La psyché du corps connecté et transformé, entre contenance et augmentation
- Le transhumanisme : incarnation de l’hypermodernisme ou fuite en avant
fantasmatique ?
- Des corps hypermodernes
- Du corps virtuel au réel du corps en gériatrie
- Corps mécanisés : extension du domaine de l’obscénité
- La religion du corps-marchandise : un nouvel opium du peuple ?
- Corps en quête d’identité : de la chirurgie réparatrice à la chirurgie transformatrice
- Ensauvagement des corps, sujets en errance et brutalité du monde
- Corps et paroles de réfugiés
A travers ces douze nouvelles à chute, les auteurs contemporains réunis dans ce recueil portent un regard tantôt grave, tantôt drôle sur le monde qui nous entoure : - Lucien (Claude Bourgeyx) - Cauchemar en gris (Fredric Brown) - Pauvre petit garçon ! (Dino Buzzati) - Le reflet (Didier Daenincks) - J'ai soif d'innocence (Romain Gary) - Quand Angèle fut seule ... (Pascal Mérigeau) - Garde-robe (Jean-Christophe Ruffin) - La Rédaction (Antonio Skarmeta) - Le Credo (Jacques Sternberg) - La Crique (Sylvain Tesson) - La Particule (Sylvain Tesson) - Le Courrier (Sylvain Tesson) Inclus : questionnaires de compréhension et d'analyse du texte, exercices de lecture d'images, exercices de vocabulaire, travaux d'écriture, activités Histoire des arts et B2i, interview d'auteur, dossier avec grands thèmes et groupements de textes, préparation au Brevet.A travers ces douze nouvelles à chute, les auteurs contemporains réunis dans ce recueil portent un regard tantôt grave, tantôt drôle sur le monde qui nous entoure : - Lucien (Claude Bourgeyx) - Cauchemar en gris (Fredric Brown) - Pauvre petit garçon ! (Dino Buzzati) - Le reflet (Didier Daenincks) - J'ai soif d'innocence (Romain Gary) - Quand Angèle fut seule ... (Pascal Mérigeau) - Garde-robe (Jean-Christophe Ruffin) - La Rédaction (Antonio Skarmeta) - Le Credo (Jacques Sternberg) - La Crique (Sylvain Tesson) - La Particule (Sylvain Tesson) - Le Courrier (Sylvain Tesson) Inclus : questionnaires de compréhension et d'analyse du texte, exercices de lecture d'images, exercices de vocabulaire, travaux d'écriture, activités Histoire des arts et B2i, interview d'auteur, dossier avec grands thèmes et groupements de textes, préparation au Brevet.
Que peut notre culture face aux assauts du monde actuel ? Telle est la question que se pose l'auteur devant l'effacement progressif d'une culture de type classique au profit de la modernité apportée par les nouvelles technologies. Le village de la culture est-il mis à sac par les barbares ? A travers divers exemples (le vin, le football, les livres, la musique classique, Google), Alessandro Baricco dresse un fulgurant portrait de cette mutation et s'interroge sur le concept d'expérience, sur la localisation du sens, pour nous et pour ces nouveaux barbares. Un passionnant voyage dans le présent qui le mène jusque sur la Grande Muraille de Chine. Avec sérieux et humour, Alessandro Baricco nous livre une réflexion forte et articulée qui constitue une contribution précieuse au débat sur l'avenir de la culture. Alessandro Baricco interviewé par Le Monde : http://www.lemonde.fr/festival/article/2015/06/02/alessandro-baricco-on-a-tout-a-gagner-a-la-mutation-numerique_4645936_4415198.htmlQue peut notre culture face aux assauts du monde actuel ? Telle est la question que se pose l'auteur devant l'effacement progressif d'une culture de type classique au profit de la modernité apportée par les nouvelles technologies. Le village de la culture est-il mis à sac par les barbares ? A travers divers exemples (le vin, le football, les livres, la musique classique, Google), Alessandro Baricco dresse un fulgurant portrait de cette mutation et s'interroge sur le concept d'expérience, sur la localisation du sens, pour nous et pour ces nouveaux barbares. Un passionnant voyage dans le présent qui le mène jusque sur la Grande Muraille de Chine. Avec sérieux et humour, Alessandro Baricco nous livre une réflexion forte et articulée qui constitue une contribution précieuse au débat sur l'avenir de la culture. Alessandro Baricco interviewé par Le Monde : http://www.lemonde.fr/festival/article/2015/06/02/alessandro-baricco-on-a-tout-a-gagner-a-la-mutation-numerique_4645936_4415198.html
- problèmes de définition et dialectique des courants : note sur un aspect encyclopédique de la modernité. Modernité, postmodernité, hypermodernité.
- généalogie des processus : généalogie des processus hypermodernes (de la condition de l'homme moderne à la condition du sujet visible). Y a-t-il une machine derrière la machine ?
- perversion et états-limites : murmures du collège. Lacan et les états-limites. Aujourd'hui, nommer la perversion...
- études : soutenir le travail : une posture psychique face au chaos. L'hébergement privé, une forme de "suppléance sociale".
- notes de lecture.
-Institutions, contestations, médiations : Rétablir les relations entre la philosophie et ses publics. L'institution française de la philosophie et son envers. L'épouvantail de l'argument. La réception de la philosophie analytique en France. De la French theory à l'American philo. Vers le grand public. Sexe, genre et féminisme. Encadré : La fabrique internationale de la philosophie.
-Friches et chantiers de la philosophie en France : Comment la crise vient à la philosophie. Retours de Dieu à l'ére postmétaphysique. Renouveau de la philosophie sociale ? Le fantôme de Descartes. De l'utilité de l'histoire de la philosophie. Le fou : un personnage conceptuel ? État, représentation, démocratie. Que faire de la philosophie politique ? La philosophie à l'épreuve de l'opinion et de l'expertise.
"Avec la postmodernité, on retrouve la notion de subjectivité. La postmodernité considère l'individu comme acteur, voire même auteur de ses projets et de son projet de vie. Il passerait alors d'une existence de soi en tant que structure sociale à un "Je" sujet individuel acteur de sa vie agissant sur son environnement. Dans le cadre de projets européens, un partenariat avec huit universités européennes a été mis en place autour de problématiques éducatives. Au travers des témoignages attestés par l'engagement mutuel, les auteurs répondent à la question : "Quelle éducation postmoderne en Europe?"."Avec la postmodernité, on retrouve la notion de subjectivité. La postmodernité considère l'individu comme acteur, voire même auteur de ses projets et de son projet de vie. Il passerait alors d'une existence de soi en tant que structure sociale à un "Je" sujet individuel acteur de sa vie agissant sur son environnement. Dans le cadre de projets européens, un partenariat avec huit universités européennes a été mis en place autour de problématiques éducatives. Au travers des témoignages attestés par l'engagement mutuel, les auteurs répondent à la question : "Quelle éducation postmoderne en Europe?".
- D'un regard l'autre
- Les racines médiévales de l'expansion coloniale
- Il faut décentrer l'histoire
- Nous n'avons plus d'antipodes
- 1750 : rien n'est joué
- La mondialisation avant la mondialisation
- Le Japon a-t-il inventé une autre modernité?
" G. Balandier reprend le terme définissant l'exil massif des Acadiens en Louisiane au XVIIIe siècle, et l'applique aux transformations subies par les sociétés contemporaines dans un mouvement constant de changement sans but défini ou définissable, ainsi qu'à la disparition de repères et de recul permettant de comprendre ces changements."" G. Balandier reprend le terme définissant l'exil massif des Acadiens en Louisiane au XVIIIe siècle, et l'applique aux transformations subies par les sociétés contemporaines dans un mouvement constant de changement sans but défini ou définissable, ainsi qu'à la disparition de repères et de recul permettant de comprendre ces changements."
A travers quatre leçons données à ses élèves de l'Ecole polytechnique : Faut-il être moderne ?, Les deux cultures, Penser le XXe siècle, La question des limites, l'auteur explore et interroge le paradoxe suivant lequel les réalités nées de la philosophie de l'homme moderne contredisent les ambitions même de cette philosophie.A travers quatre leçons données à ses élèves de l'Ecole polytechnique : Faut-il être moderne ?, Les deux cultures, Penser le XXe siècle, La question des limites, l'auteur explore et interroge le paradoxe suivant lequel les réalités nées de la philosophie de l'homme moderne contredisent les ambitions même de cette philosophie.
Cote = 2/02 Philosophie : grands courants de pensée
Où est passée la société ? in Sciences HumainesVega, Xavier de la ; Molénat, Xavier ; sous la dir.n° 165, novembre2005 p. 29 à 49
- Cherche société désespérément
- Vivre dans la "modernité liquide"
- Pourquoi les sciences sociales manquent de rythme
- Agir : le spectre des possibles
- Dans une société hypertexte
- Le retour du religieux : un phénomène mondial
- Comment les religions s'adaptent à la modernité ?
- Etats-Unis : religion privée et religion publique en tension
- Chine : le temps des traditions recomposées
- Egypte : quand l'Islam s'approprie la pensée positive
- Sommes-nous entrés dans une nouvelle modernité ?
- Que sommes-nous devenus ?
- Devoir s'inventer : entretien avec Jean-Claude Kaufmann
- Souci du corps et sculpture de soi
Le sociologue Jean-Pierre Le Goff propose une analyse des maux dont souffrent la société en général et le système éducatif en particulier. La Barbarie douce, qui procède de « l'insignifiance » des discours et de « la manipulation » des esprits, pose comme une évidence que la remise en cause radicale de façons de vivre et de penser, « la révolution culturelle permanente » constituent les conditions de survie de notre société. Ce postulat autorise à recourir à toutes sortes d'outils supposés « moderniser » les comportements et les rapports sociaux. Dans sa critique du système éducatif, Jean-Pierre Le Goff désigne d'ailleurs sa cible en un raccourci éloquent : les « pédagogues modernistes ».Le sociologue Jean-Pierre Le Goff propose une analyse des maux dont souffrent la société en général et le système éducatif en particulier. La Barbarie douce, qui procède de « l'insignifiance » des discours et de « la manipulation » des esprits, pose comme une évidence que la remise en cause radicale de façons de vivre et de penser, « la révolution culturelle permanente » constituent les conditions de survie de notre société. Ce postulat autorise à recourir à toutes sortes d'outils supposés « moderniser » les comportements et les rapports sociaux. Dans sa critique du système éducatif, Jean-Pierre Le Goff désigne d'ailleurs sa cible en un raccourci éloquent : les « pédagogues modernistes ».