"Après les conflits entre les partisans du "mariage pour tous" et ceux de la "Manif pour tous", et à la suite des remaniements consécutifs aux élections municipales, le temps serait-il venu d'une pacification sociale, politique et religieuse de la polémique du "genre" ?
Cette pacification ouvrirait-elle alors l'examen de quelques questions fondamentales qui conditionnent l'engagement social et politique des catholiques divisés sur les analyses, les jugements et les actions
à mener?"
- Naissance d'une polémique sur la scène politique
- Quelques acteurs des féminismes et de la réflexion sur le "genre"
- Quels rôles éthiques et politiques pour les catholiques ?
" La poupée pour les filles et le camion pour les garçons, est-ce naturel ou culturel ? Voilà comment on a longtemps résumé les débats autour des différences de sexe dans l'enfance. Une vision que les récentes polémiques autour de la lutte contre les stéréotypes à l'école ou malheureusement contribué à renforcer, quitte à brouiller les enjeux du débat ..."
- Sortir de la confusion
- Cinq questions sur le sexe, le genre et ceux qui les étudient
- La construction de l'identité sexuée
- L'invention des trans'
- Les traditions du "troisième sexe"
- Enfances d'ailleurs
- La mixité scolaire remise en débat
- Les jouets sont-ils sexistes ?
- Danse ou football ?
Introduction : Combats féministes, débats de société
- L'État, les femmes et leurs corps : la bioéthique, nouveau chantier du féminisme ?
- La pornographie, outil d'oppression ?
- Dignité de la femme et liberté des femmes. Les débats autour de la prostitution
- Vie professionnelle, vie familiale : les mommy wars aux États-Unis
- La pudeur et l'affichage : le féminisme est-il antireligieux ?
- Le militantisme féministe aujourd'hui. Table ronde avec Christine Bard, Alix Béranger, Clara Carbunar, Caroline De Haas.
"L'existence de riches et de pauvres, de gouvernants et de gouvernés n'est pas un fait de nature. Pendant des dizaines de milliers d'années, les sociétés humaines ont pratiqué l'égalité et refusé toute gouvernance autre que celles de l'âge et du sexe ..."
- Pourquoi les chefs ?
- Aux sources de l'inégalité : l'hypothèse clientéliste
- La hiérarchie est-elle bien naturelle ?
- Expliquer la domination masculine
L'article évoque les inégalités entre hommes et femmes et entre femmes concernant le monde du travail, les charges domestiques, la famille ...
Les conditions féminines en France
"Les Françaises conjuguent à la fois une natalité élevée et un fort taux d'activité. Un exploit cher payé, particulièrement pour les plus modestes d'entre elles qui cumulent précarité et risque de pauvreté."
Inégalités au pluriel sur le marché du travail
"Les inégalités entre hommes et femmes persistent. Et elles progressent entre les femmes elles-mêmes."
Les femmes : chevilles ouvrières de la famille
"Tâches ménagères, prise en charge des enfants, des parents dépendants ..., dans la sphère privée les progrés vers l'égalités entre hommes et femmes sont modestes."
Le rôle de l'éducation
"Ce sont les filles qui ont de meilleurs résultats scolaires. Et les garçons les diplômes les plus rentables."
- D'abord une question de principes
"Temps partiels, congés parental, revalorisation des métiers d'aide à la personne, éducation ..., Najat Vallaud-Belkacem dresse le plan de bataille du gouvernement en faveur de l'égalité hommes-femmes."
"La grande majorité (80%) des élèves punis au collège sont des garçons. Comment expliquer ce chiffre en contradiction avec le discours égalitaire officiel ? Pourquoi n'attire-t-il pas l'attention des équipes éducatives ? Ce livre propose d'interroger la sanction à la lumière du genre. Il montre l'effet pervers des punitions qui consacrent les garçons dans une identité masculine stéréotypée et renforcent les comportements qu'elles prétendent corriger : le défi, la transgression, les conduites sexistes, homophobes et violentes. L'ouvrage, fruit d'une recherche exigeante, explore toutes les facettes de cette hypothèse en interrogeant les règlements intérieurs, les registres de sanctions et en donnant la parole aux élèves et aux adultes... Aux antipodes de la tolérance zéro et du tout répressif, l'auteur plaide pour une éducation non sexiste, une mixité non ségrégative et la formation des enseignants au genre. Ces propositions apparaissent comme une urgence si l'on veut enrayer la violence scolaire.""La grande majorité (80%) des élèves punis au collège sont des garçons. Comment expliquer ce chiffre en contradiction avec le discours égalitaire officiel ? Pourquoi n'attire-t-il pas l'attention des équipes éducatives ? Ce livre propose d'interroger la sanction à la lumière du genre. Il montre l'effet pervers des punitions qui consacrent les garçons dans une identité masculine stéréotypée et renforcent les comportements qu'elles prétendent corriger : le défi, la transgression, les conduites sexistes, homophobes et violentes. L'ouvrage, fruit d'une recherche exigeante, explore toutes les facettes de cette hypothèse en interrogeant les règlements intérieurs, les registres de sanctions et en donnant la parole aux élèves et aux adultes... Aux antipodes de la tolérance zéro et du tout répressif, l'auteur plaide pour une éducation non sexiste, une mixité non ségrégative et la formation des enseignants au genre. Ces propositions apparaissent comme une urgence si l'on veut enrayer la violence scolaire."
Genre, sexisme et féminisme in Le Français Aujourd'huiCollectif ; Bruno, Pierre ; Butlen, Max ; sous la dir.n° 163, décembre2008 p. 3 à 121
Auteur, lecteur, texte
-Patrimoine littéraire et écrivaines francophones
-"Avoir bon genre ?" : les lectures à l'adolescence
-Evaluer le degré de sexisme d'une oeuvre : nécessité et difficulté
Quels effets sur les pratiques ?
-Prince(sse), ogre(esse), auteur(e), lecteur ou lectrice : sexe et enseignement de la littérature à l'école
-Représentations de la femme dans "Le Rideau cramoisi" de Barbey d'Aurevilly
-Genre, parcours scolaires et rapports aux savoirs en lycée professionnel
-Mettre au féminin les noms de métier : résistances culturelles et sociolinguistiques
Nouvelles approches
-Petite hisoire paradoxale des édtudes dites de "genre" en France